Spectateurs des Trois Parques m'attendent dans le parking de Jacques Rebotier, au Théâtre des Amandiers

Evénement, Rêve, Souvenir... En réponse aux trois mots qui constituent la trilogie R.E.S. de Jacques Rebotier (dont Les Trois Parques sont le deuxième volet) les étudiants ont tout dit... en trois mots.















"Le rythme ondule, il est hétérogène. Certains passages sont dynamiques, intenses et presque haletants (dialogues soutenus, rapides, enchaînés), avec des cris, des explosions (pomme, néon...). D'autres sont lents, flottants, propices au suspens."


Léa Cornilleau, Marine Rolland, Julia Derungs



"Le texte comme une partition de musique"


Pierre Versaevel, Isabelle Durbourdieu, Sofia Boggio







"Les masques déstabilisent, poupées de cire irréelles, séparation entre réel et fiction, la scène et le public"

Pierre, Isabelle, Sofia









"Une porte et un panneau indiquant "ORTIE DE SECOURS". Mais il s'agit aussi d'un espace mental dans lequel est projeté l'imaginaire des trois Parques"

Grace Essiyo, Cyrille Gaonach, Cendrine Buisson, Déborah Blay-Ferrer











"Quand les actrices ne parlent pas, elles : - tissent la vie avec la naissance (futur), la vie (présent), la mort (passé) - déambulent sur scène avec des valises aux roues lumineuses."


Pierre, Isabelle, Sofia




"Le spectacle rend le spectateur à priori pessimiste, transmettant le sentiment d'être enfermé dans une société en crise qui régit nos actes, voire nos pensées. Cependant avec du recul, elle offre la possibilité de relativiser. Si cette pièce dénonce tout cela, c'est peut-être que l'art est un espoir de s'en sortir."


Alice, Laurène, Laura





"Une scène particulièrement marquante. Lorsque les femmes portent un masque soulevant la question de notre propre identité. Est-ce que le masque que l'on choisit de porter, révèle finalement notre propre personnalité ?"

Alice Jacoly, Laurène Parisot, Laura Vainqueur